Les dés sont "Pippo"

Publié le par Dudley Smith



Coucou les kids. Peu actif ces derniers jours, pour cause de vacances et de Twitter et d'horaires décalés, je reprends le clavier 5 minutes pour évoquer la C1 et la première journée d'hier soir.

Ca m'a pris juste après le coup de sifflet final, en fait, lorsqu'un des sbires de Canal alpague Soulé "Dadoo" Diawara pour le solliciter sur le match. A la phrase "vous avez quand même bien joué, et fait douter le grand Milan" (en gros), Soulé ricane et estime que "oui, c'est bien joli mais c'est pas assez".

Il m'aura donc fallu attendre que la tension du match retombe pour enfin apprécier la vérité en face. Comme je l'ai fait remarquer à mon ami NZ sur Facebook, je pensais au départ que Marseille avait livré une très belle partie. Mais je me fourrais alors le doigt jusqu'à l'épaule, avec la poutre, la lune et l'idiot.

Alors certes, le but de Heinze, le "double café-crème" de Niang et deux trois bricoles épiques de Cheyrou nous ont régalé la chique pendant allez quoi ? vingt minutes. 1200 secondes de furia et de jolies choses. Mais ç'aurait été oublier plusieurs autres réalités moins glorieuses. A savoir, surtout, les erreurs de poussins de Kaboré et Taiwo ayant offert les deux buts de "tueurs" de la doublette soi-disant vieillissante Seedorf-Pippo.

Et  même si après un tel constat il semble illusoire de pouvoir se défausser sur le "réalisme à l'italienne", il faut bien reconnaitre que ces salopards ont marqué aux pires moments du match. Lorsque le match semblait à la main de l'OM. C'est sans doute ça les grandes équipes.





Et Pippo, putain. Toujours insupportable, "né hors-jeu" comme disait Alex Ferguson, avec sa tronche de minos à claquer et de gringalet stupide. Mais toujours là, à 36 balais et 44 pions en C1, pour nous les briser. Il est relou, on a envie de le gifler, mais il est énorme...

Et une preuve supplémentaire de la différence de niveaux sur le continent, puisque comme l'an passé ça fait 1-2 pour le premier match à la maison. Avant de se coltiner les robots surpayés du Real Madrid, qui ont offert plusieurs tournées hier soir au public zurichois. Et pendant ce temps, les gentils Bordelais faisaient 1-1 à Turin malgré Giovinco.

Fait chier.





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